À l’ère du consumérisme d’aujourd’hui, la gestion des garanties/services/réparations est devenue plus difficile et d’une importance cruciale que jamais. Là où le marché est inondé d’un bouquet de produits tout aussi bons, Contacter-sav.fr la sous-performance des opérations de service après-vente peut dissuader les clients d’acheter vos produits et entraîner une perte d’opportunité substantielle.

Choisir la bonne solution de gestion du service après-vente peut être difficile ; en particulier lorsque plusieurs fournisseurs de gestion du service client standard ne parviennent pas à combler le fossé entre les unités commerciales, le canal de service, les fournisseurs de services tiers et les clients finaux. Pour vous aider à gérer efficacement vos processus métier après-vente, cet article se concentre sur 7 stratégies clés à prendre en compte avant de choisir votre solution de gestion des services.

Connaissez les besoins de votre entreprise – L’évaluation des besoins de votre entreprise est la première bonne étape vers le choix d’un CRM de gestion du service client. Qu’attendez-vous de votre logiciel de service ? Comment souhaitez-vous améliorer le service après-vente, minimiser les frais généraux associés aux ventes ou réduire le délai d’exécution du processus de réparation ? Voulez-vous payer vos fournisseurs via le système ? Ou souhaitez-vous collecter les données client et les données d’historique de réparation pour toute improvisation future dans le processus métier ou souhaitez-vous intégrer un outil analytique tiers pour certaines recherches sur le comportement des clients ? Une évaluation et une analyse étape par étape vous aideront à simplifier le processus d’achat et à utiliser correctement le système.
Évolutivité et convivialité – Il est crucial de vérifier l’évolutivité et la convivialité de Customer Service Management CRM. Vérifiez donc si le système CRM proposé vous aiderait à faire face aux nouveaux processus commerciaux qui pourraient survenir à l’avenir. Le système est-il facile à mettre à niveau ? Vérifiez également l’adéquation du logiciel. C’est-à-dire dans quelle mesure le logiciel peut être utilisé tel quel, sans avoir à apporter de modifications majeures.